L'Asile de ton Sourire
Pouvoir te revoir, je ne m’y attendais plus vraiment,
Souvent, j'ai rêvé d’être à tes côtés, fixant le firmament,
Dans ma poitrine, mon cœur battrait ardemment.
Sous ton regard, je me sentais parfois fébrile,
Comme une île, perdue dans un océan docile,
Échouée sur le rivage de ton sourire fragile,
Ton sourire, pour mon âme, semblait l'unique asile.
Durant des jours, des mois, des années,
À ma façon, j’aurais voulu tout te donner,
Tes ignorances, tes défauts, je t’aurais tout pardonné.
Jamais je n’ai voulu te montrer mes larmes,
Entre tes bras, je me serais donnée corps et âme,
Dans le silence, mes soupirs dessinaient une trame,
Un tableau d'amour, tissé d'une douce flamme.
Et dans l'écho de nos rires, résonne l'éternelle trame,
Un serment d'amour, au-delà des mots, une pure flamme.
Dans ma poitrine, mon cœur battrait ardemment.
Sous ton regard, je me sentais parfois fébrile,
Comme une île, perdue dans un océan docile,
Échouée sur le rivage de ton sourire fragile,
Ton sourire, pour mon âme, paraissait l'unique asile.
Pouvoir te revoir, je ne m’y attendais plus vraiment,
Souvent, j'ai rêvé d’être à tes côtés, fixant le firmament,
Dans ma poitrine, mon cœur battrait ardemment.
Sous ton regard, je me sentais parfois fébrile,
Comme une île, perdue dans un océan docile,
Échouée sur le rivage de ton sourire fragile,
Ton sourire, pour mon âme, semblait l'unique asile.
Durant des jours, des mois, des années,
À ma façon, j’aurais voulu tout te donner,
Tes ignorances, tes défauts, je t’aurais tout pardonné.
Jamais je n’ai voulu te montrer mes larmes,
Entre tes bras, je me serais donnée corps et âme,
Dans le silence, mes soupirs dessinaient une trame,
Un tableau d'amour, tissé d'une douce flamme.
Et dans l'écho de nos rires, résonne l'éternelle trame,
Un serment d'amour, au-delà des mots, une pure flamme.
Dans ma poitrine, mon cœur battrait ardemment.
Sous ton regard, je me sentais parfois fébrile,
Comme une île, perdue dans un océan docile,
Échouée sur le rivage de ton sourire fragile,
Ton sourire, pour mon âme, paraissait l'unique asile.